dimanche 27 juillet 2008

Le goût de raconter une histoire

En regardant le 2e épisode d'un film à l'imaginaire débridé,
il m'est venu l'idée que
ce n'est ni la poule ni l'oeuf qui est venu en premier,
c'est le goût de raconter une histoire.

Bon, j'en entends déjà un qui se demande
si c'est le goût de raconter ou d'écouter qui est venu en premier.

Écouter, raconter; offre, demande, ...

C'est la même chose, comme les deux côtés de la même médaille.

L'important c'est l'histoire,
celle qu'on se raconte pour donner du sens à sa vie
celles qui prétendent nous expliquer le sens de la vie
celles qui se souviennent de ce qui s'est passé
dans chaque petit racoin de la vie...

Il y en a qui ont plus que les autres
le tour de raconter des belles histoires.

Mais en fait, belles ou pas belles,
toutes les histoires font partie de la même histoire.

Du niveau subatomique au niveau supragalactique,
c'est tout ou rien, à prendre ou à laisser.

L'existence de chaque pièce du puzzle
dépend de l'existence de toutes les autres pièces.

Ce que vous faites au plus petit d'entre les miens,
c'est à moi que vous le faites.

Et c'est pourquoi ce qui a été séparé, à la fin, doit toujours être réuni.


Sergio

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