mercredi 30 avril 2008

Que devient la politique dans tout ça ?

La politique, elle devient ce qu'on en fait.

Et si on veut faire quelque chose,
le mieux c'est de commencer drette où on est !

Parce que si on décidait de commencer ailleurs
faudrait attendre d'être rendu ailleurs pour commencer.

Mais là, ça contredirait la première directive : «Be here now»

C'est effectivement illogique d'attendre à plus tard
pour être «Ici et maintenant»

Fait que là, on est rendus drette-là, icitte et maintenant,
pis on veut faire quelque chose là tout de suite,
mais on sait pas quoi faire...

Ben moi j'dis : «Prenons un risque !»

Les enjeux sont très élevés,
après tout, c'est une question de vie ou de mort,
et c'est pas certain qu'on va s'en sortir
en choisissant méthodiquement l'option la plus sécuritaire,
celle qui ne comporte aucune surprise.

«Qui ne risque rien, n'a rien...»

Dans toutes les options qui s'offrent à nous,
choisissons celle qui ouvre sur de nouvelles possibilités,
au lieu de nous ramener dans les sentiers battus.

C'est pas obligé d'être une grosse affaire : «Small is beautiful»

La politique,
n'est plus le monopole des partis politiques
comme la science
n'est plus le monopole de la communauté scientifique
et la spiritualité
n'est plus le monopole des organisations religieuses.

Tout est toujours à recommencer.

Alors arrêtons de perdre du temps,
le meilleur moment pour agir,
c'est toujours maintenant !

Sergio

samedi 26 avril 2008

Que reste-t-il de l'esprit 1968 ?

Dans Le Devoir du 26-27 avril 2008,
Stéphane Baillargeon demande :

« Que reste-t-il de l'esprit 1968? »

Ça m'a inspiré le texte suivant :

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«Obtenir l'obéissance...»

Quelle idée saugrenue !

Comme le disait mon père avant moi :

«J'ai pas besoin de vous pour me gouverner,
je suis parfaitement capable de me gouverner moi-même.»

Presque tous les gens cités dans l'article
analysent ce mouvement en le considérant de l'extérieur.

C'est comme les «Médias freaks» des années soixante
qui aimaient bien avoir leur face dans les journaux
et prétendaient parler au nom du mouvement
mais n'ont rien pu dire d'utile
parce qu'ils n'en faisaient pas vraiment partie.

Évidement le mouvement n'a pas pris la peine
de remettre les pendules à l'heure
ce qui fait qu'encore aujourd'hui
certaines personnes peuvent écrire des sornettes telles que :

«Après tout,
c'est facile de dire "fuck le travail" quand tu es étudiant,
"fuck la famille" quand tu n'as pas d'enfant... »


Bien sûr qu'on a dit «Fuck le travail».

Mais on était déjà plus étudiants parce qu'on avait décroché
et tout en continuant de faire l'éloge de la paresse
on a travaillé toute notre vie aussi fort que n'importe qui
et plus fort que bien d'autres.

Bien sûr qu'on a dit «Fuck la famille».

Mais on a eu plein d'enfants
et on s'en est occupés comme il faut
dans toutes sortes de situations familiales.

Et on les a élevés en recourant à l'amour, pas à l'autorité.

Vous demandez : « Que reste-t-il de l'esprit de 68 ? »

Vous vous répondez vous-mêmes :

«Au plus fort de la guerre du Vietnam,
il y avait autour de 2 500 protestataires pacifistes
dans les rues de Montréal.
La foule a gonflé à 250 000 personnes
contre la guerre en Irak en 2003.»


Nous n'étions que quelques milliers à l'époque,
nous sommes beaucoup plus nombreux maintenant.

Mais, les journalistes n'arrivent pas mieux à nous cerner
aujourd'hui qu'il y a 40 ans.

Des vieux qui trippent sur les jeunes filles,
il y en a eu à toutes les époques
et ce n'est pas une caractéristique
qui peut servir à définir notre groupe plus qu'un autre groupe.

Dans «amour libre» le mot important, c'est liberté.

Quand on dit : «Faite l'amour, pas la guerre»
ce n'est pas une question de lâcheté
mais de responsabilité civile.

Si vous voulez vraiment parler de l'impact
des marginaux et de la contre-culture dans la société,
commencez par imaginer où vous seriez si nous n'avions pas été là.

«Dès les années 1950, elle notait que notre civilisation
serait bien mal en point quand la critique de l'autorité
triompherait dans les sphères non politiques,
celles du savoir et de l'éducation notamment.»


Ben là chérie, notre civilisation EST très mal en point
et c'est justement les autorités qui nous ont amené là
et elles semblent bien incapables de redresser la situation.

Nous n'avons pas seulement critiqué,
nous avons aussi proposé des solutions
et nous les avons mises en pratique.

C'était la bonne chose à faire il y a 40 ans,
ça l'est encore aujourd'hui

Serge Grenier

jeudi 24 avril 2008

Jouer fessier ou fesser dans le tas ?

Jouer fessier,
c'est quand t'as eu un beau jeu
mais que t'oses pas abattre tes cartes sur la table.

Fesser dans le tas,
c'est quand t'as pas eu un beau jeu
puis que tu te venges contre la vie
en attrapant le premier venu
et en lui faisant payer pour tous les autres.

En fin de compte, dans les deux cas,
c'est la solution de facilité qu'on a choisi.

Mais attention, il y a «facile» et «facile».

Les neorhinos ne jouent pas fessier
et ne foncent pas aveuglément dans le tas.

Pourtant, ils sont les champions de la solution de facilité.

Je vous laisse méditer sur ce paradoxe
jusqu'à mon prochain texte intitulé :

Qu'est la politique devenue ?

Chao...

Sergio

lundi 21 avril 2008

Les grands bouleversements

Comme l'a expliqué assez clairement Hubert Reeves
dimanche soir à Tout le monde en parle,
«les grands arbres et les mammifères de plus de 3 kilos»
risquent fort de ne pas survivre aux grands bouleversements
qui nous pendent au bout du nez.

Certaines personnes se disent :

«Que voulez-vous, si c'est notre destinée, on n'y peut rien!»

Je pense au contraire que notre destinée,
nous nous la faisons nous-mêmes, au fur et à mesure.

Il est trop tard maintenant pour changer le présent,
mais il est encore temps de changer le futur.

Comment peut-on faire ça ?

En l'imaginant différent, en le décrivant autrement,
en le désirant simplement, mais avec assiduité.

Tout vient à point à qui sait attendre.

Je peux avoir l'air naïf avec mes beaux principes,
mais je n'y peux rien, c'est comme ça que je marche.

Moi, ce qui m'intéresse, c'est le long terme.

La politique n'a pas toujours été ce qu'elle est aujourd'hui
et elle ne demeurera pas toujours comme elle est maintenant.

Je ne crois pas qu'il vaille la peine de trop s'attarder
aux particularités électorales du Canada à cette époque
où les calculs de la carrière personnelle d'un chef de parti
influencent davantage l'agenda politique du pays
que les affaires de l'État.

Penser à long terme, ça a plusieurs avantages.

D'abord, à court terme, j'en ai plein les bras avec l'ouvrage,
le ménage, le courraillage, les comptes à payer, alouette.

Alors je ne peut pas me permettre
de faire de la politique à temps plein.

Et de toutes façons, même si j'avais plein de temps,
je ne pourrais quand même pas avoir une grosse influence
sur cette énorme machine et toutes ces personnes.

Tandis que le long terme, c'est un territoire vierge,
très peu de gens s'en occupent, ou s'en préoccupent.

Comme si la plupart croyaient que la fin du monde allait arriver
longtemps avant le long terme.

Mais si au contraire, nous n'étions encore qu'au début de monde,
et que dans la prochaine étape de notre histoire commune,
l'organisation de la société repose davantage
sur une myriade de petites structures évolutives et inter connectées
que sur quelques grandes structures rigides et déconnectées.

Que la compréhension du monde passe par presque tout le monde
au lieu de ne passer que par quelques personnes.

On peut imaginer plein de nouvelles manière d'organiser le monde
et passer par le parti neorhino.ca
pour les proposer sur la place publique.

Et alors ou bien une de ces idées
nous aidera à surmonter les grands bouleversements
ou bien au moins on aura essayé...

Sergio

dimanche 20 avril 2008

Savoir plus et risquer moins

Selon Monsieur Tony Clément, ministre fédéral de la Santé,
les Canadiens méritent un message anti-drogue clair
(«... Canadians deserve a clear anti-drug message...»).

Je suis un Canadien moi aussi monsieur Clément,
et je n'ai pas besoin de vous pour me dire comment vivre ma vie.

Votre gouvernement a été élu par un cinquième de la population
et il ne peut pas obliger les autres quatre cinquièmes à lui obéir.

On s'en fout qu'il ait pris le pouvoir légalement
(ce qui d'ailleurs reste à prouver...)
cela ne justifie pas qu'il se comporte en despote
et aille à l'encontre des choix de vie de la majorité de la population.

Heureusement, des voix prennent la parole
et le sens de leurs mots résonne fort dans nos coeurs.

Des voix comme celle de Jean Doré, des Auberges du coeur,
qui nous a rappelé l'autre soir au Lion d'Or,
que parmi les priorités, l'une des plus urgentes, c'est les jeunes.

Des voix comme celle de Hugo Latulippe,
qui explique qu'on pourrait commencer
par s'occuper du compost mais qu'en fait,
c'est toute notre manière de vivre ensemble qu'il faut redéfinir,
de façon à ce que le bonheur des uns
ne dépende pas du malheur des autres.

«Le problème actuellement,
ce n'est pas un problème de quantité,
mais un problème de justice et d'équité.»

Dans la vie, plus on en sait,
mieux on comprend la situation
et moins on risque de se pêter la gueule.

Il est grand temps que les gens comprennent
que ceux qu'on nous ait passer pour la majorité
ne sont en fait qu'une minorité parmi tant d'autres.

C'est pas Stéphane Dion qui va tasser Stéphan Harper de là,
c'est les 40% de gens qui ne croient ni dans l'un ni dans l'autre
et qui vont s'approprier la plateforme neorhino
pour envoyer un message clair aux autres 60% de la population :

Nous sommes peut-être moins nombreux,
mais nous sommes là pour rester,
aussi bien vous faire à l'idée
et vous calmer le ponpon avec vos lois rétrogrades.

Sergio

mercredi 16 avril 2008

Ils ont sapé la fondation

Ça fait des années que je le répète,
mais personne ne veut en entendre parler.

Pour que ça marche comme il faut,
il faut que ça soit basé sur les bons principes.

Sans ça, même si ça peut marcher pendant un temps,
à un moment donné ça finit toujours par nous pêter dans face.

Bref, le principe pour l'argent, c'est : débit = crédit.

Basic !

Sauf que il y en a une gagne de smattes qui se sont dit:

« Nous, on a pas besoin de principes, on fait des lois ! »

Loi #1
Nous seuls pouvons générer du capital.

Loi # 2
Pour utiliser le capital, vous devez nous l'emprunter.

Loi # 3
Vous devez nous rembourser non seulement le capital,
mais aussi les intérêts.

Loi # 4
Pour payer les intérêts,
vous pouvez soit emprunter davantage de capital
soit utiliser le capital de quelqu'un d'autre.

Loi # 5
Nous vendons aussi des armes...

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Ça peut pas marcher parce que ça balance pas !

Il y a nécessairement quelqu'un qui se fait avoir
et le plus souvent c'est l'environnement et le pauvre monde.

Sauf que maintenant, la nature en a plein son casse,
et le pauvre monde est en train de crever de faim.

Fait que là, ce n'est plus le temps d'attendre
que la gagne de tarlas qui sont au pouvoir fassent quelque chose
pour nous sortir du merdier dans lequel ils nous ont foutu,
c'est à chacun de nous de s'occuper de son propre cas.

En commençant par quoi ?

En commençant pas s'éduquer soi-même.

Mieux on comprend où on est rendus,
mieux on peut décider quoi faire ensuite.

Suivre les bons principes,
c'est un des chemins qui mène à la sagesse.

Sergio

samedi 12 avril 2008

La tentation de la dictature verte

Dans le Devoir du 12 avril 2008, Antoine Robitaille demande:

« La démocratie va-t-elle tuer la planète? »

Voici ma réponse :

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L'idée de la démocratie est que le peuple se gouverne lui-même.

Dans quel pays et à quelle époque y a-t-il eu sur cette planète
un peuple qui s'est gouverné lui-même ?

Certainement pas aux États-Unis, ni au Canada
et encore moins au Québec.

La démocratie, c'est une bonne idée,
mais elle n'a encore jamais vraiment été appliquée nulle part.

Alors, on ne peut pas reprocher de mal fonctionner
à quelque chose qui n'existe pas encore vraiment.

Commençons par en mettre une en place,
et ensuite on jugera des résultats de la démocratie.

Dans tous les pays,
ce ne sont que quelques personnes qui décident tout
et elles font plein de gaffes.

En Chine, pour chaque bon coup dont en entend parler,
comme celui des sacs de plastiques,
il y a mille mauvais coups dont on entendra jamais parler.

Et cela, les gens comme David Shearman
n'en tiennent pas compte dans leurs raisonnements.

Ramenez les dictateurs du passé
et donnez-leur les armes et les technologies du présent
et imaginez l'avenir qui en découlerait :
certainement rien de très écologique !

La solution ne passe pas par une personne qui force les autres à obéir,
mais par toutes les personnes qui se comportent sainement
parce que personne ne les force à faire le contraire.

Si je ne vole pas,
c'est pas parce que j'ai peur des polices,
c'est parce que je ne suis pas un voleur.

Il ne s'agit pas
de reprocher aux gouvernements de mal nous gouverner,
il s'agit
de bien se gouverner soi-même et le reste suivra.

«Une personne, un vote»,
ça s'est le principe de base de la démocratie.

Où est-ce que ça parle de chef là-dedans ? Nulle part!

C'est comme dans «Aimez-vous les uns les autres»,
qui est le principe de base d'une religion assez répandue.

Où est-ce que ça parle d'un pape là-dedans ? Nulle part.

Pour assainir le climat sur cette planète,
il faudrait d'abord, autant en politique qu'en religion,
comprendre les principes de bases et agir en conséquence.

lundi 7 avril 2008

Conspiration ou pas, c'est quand même arrangé avec le gars des vues !

Plusieurs prétendent que
la version officielle de ce qui s'est passé
le 11 septembre 2001 sur la côte est des États-Unis
ne dit pas tout ce qu'il y a à savoir sur le sujet.

Certains affirment même
qu'il s'agit en fait d'une énorme conspiration.

Il n'en faut pas plus pour que les ténors de l'ordre établi
déchirent leurs chemise et crient au blasphème:

« Une conspiration ! Ben voyons donc...
Tu penses qu'il y aurait du monde assez fou
pour tuer quelques milliers de personnes
juste pour être capable d'en manipuler
quelques millions d'autres ! »

Ben, oui...

Toi, c'est quoi tu penses ?

Que tout ce qui arrive arrive par hasard ?

Ça fait combien de temps que t'es pas allé au cinéma ?

Dis-toi bien que toujours et en toutes choses,
la réalité dépasse la fiction (et pas à peu près !)

En fait, ce qu'il faut se demander, c'est :

Les gens qui ne se rendent pas compte
qu'il existe d'autres réalités
que celles véhiculées par les médias de l'ordre établi,
c'est quoi d'autre qu'y comprennent pas ?

Les personnes qui nient la possibilité
que plusieurs intérêts occultes étaient à l'oeuvre
derrière chacun des grands événements de l'histoire récente,
ne se trouvent-elles pas par le fait même
à être complices de ces crimes contre l'humanité ?

Ces personnes ne peuvent tout de même pas plaider l'ignorance
parce que pour nier quelque chose,
il faut d'abord en prendre connaissance.

À moins que ces personnes se permettent
de nier l'existence de quelque chose
sans même se donner la peine
de savoir de quoi il s'agit.

Mais alors quelle sorte de crédibilité peut-on leur accorder ?

J'essaie de virer ça d'un bord, puis de l'autre,
mais j'arrive pas à trouver un angle quelconque
qui puisse justifier de défendre la version officielle
que les autorités américaines ont donné des faits
alors que l'histoire démontre qu'à aucun moment depuis le début
le gouvernement de ce pays n'a dit toute la vérité à sa population.

Mais là, pour mettre les choses en perspectives,
je vous suggère de considérer l'éventualité suivante :

Imaginez la crise financière qui pourrait survenir
quand les gens vont comprendre
la portée et l'ampleur réelle des scandales financiers
qui ne font que commencer à sortir sur la place publique.

Que se passerait-il si le gouvernement des États-Unis
n'avait plus les moyens de payer le salaire de ses armées ?

Méchant payroll à assumer ça, mon tchum...

J'imagine que plusieurs petits pays qui ont des comptes à régler
y verront une occasion en or d'acquérir du jour au lendemain
une armée de mercenaires top shape à un prix imbattable.

Et je ne doute pas que plusieurs de ces soldats se feront un plaisir
de se retourner contre une patrie qui les a si souvent trahi.

Si jamais, ça ça arrive,
il va être bon de savoir sur qui on peut compter...

C'est justement une des idées maîtresses
des différentes incarnations du parti rhinocéros
depuis près d'un demi-siècle :

Qu'importent les idéologies, qu'importent les systèmes,
l'essentiel c'est le goût qu'on a de vivre ensemble,
avec la confiance que l'on peut compter les uns sur les autres,
et l'espoir que l'humour saura nous tirer du pétrin
dans lequel l'honneur nous a foutus.

À bon entendeur, salut !

Sergio

De la politique néoquantique ?

L'autre jour, Sophie m'a demandé
ce que je pensais du parti neorhino.ca ?

En partant, je pense que c'est une bonne idée...

Puis en ce qui me concerne,
j'aime ça faire un peu n'importe quoi avec François
et avec les autres qui s'impliquent dans le parti.

Et finalement il y a la possibilité aussi ténue soit-elle
que ce soit nous l'avenir de la démocratie,
que le chemin pour nous sortir du labyrinthe infernal
dans lequel nous enferment la force et la violence
passe par l'humour et le travail.

Le principe de la démocratie,
c'est qu'on peut appartenir à des partis différents,
mais on fait partie du même pays et on vit ensemble.

C'est pour cela que je préfère les principes de la politique
aux principes la religion.

En religion, si tu n'est pas du bon côté, tu es un infidèle
et non seulement tu ne seras pas sauvé à la fin de ta vie
mais en plus t'es mieux de filer doux
sinon tu peux passer par l'inquisition pendant ta vie.

En politique,
il peut y avoir plein de partis différents qui travaillent ensemble,
en religion,
il y a les bons et les méchants, les élus et les damnés.

De mon point de vue, Bush et Harper,
font plus de la religion que de la politique
car ils cherchent davantage à imposer leur manière de voir
qu'à laisser sa place à toutes les manières de voir.

Moi, j'en fais de la politique, j'en ai fait toute ma vie.

Pourtant, je suis un parfait inconnu.

La vraie politique, ça se passe au niveau des idées,
et à ce niveau nous sommes tous interconnectés, veut, veut pas.

Alors, dans l'univers des univers,
où est-ce qu'elles avancent le plus les idées ?

En dedans ou en dehors du Parlement ?

Sergio